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- INTERVIEW -

Elle ose les couleurs, les fleurs et l’osier sous toutes ses formes.
Jennifer Neyt nous reçoit chez elle, un intérieur frais et féminin
situé dans le 18ème arrondissement de Paris.


 

JENNIFER NEYT
Journaliste et Consultante mode  

Une grande bibliothèque déborde de beaux livres sur la mode et l’art de vivre, des bijoux et talismans reposent dans des coupelles à droite à gauche. On se sent bien chez Jennifer. Autour d’un café, elle nous raconte ses années passées à la tête du Vogue digital, ses voyages à travers le monde, ce qui a façonné son goût, et sa passion pour l’artisanat. Son fils Gaston se réveille de sa sieste, et c’est l’occasion d’aborder les joies de la maternité.





Pouvez-vous vous présenter ?

Je m'appelle Jennifer Neyt, j'ai 37 ans. Je suis journaliste. J'ai un petit bébé qui s'appelle Gaston, un chien adorable qui s'appelle Laïka. J'ai fait une école de communication qui s'appelle l'ISCOM puis des stages dans la mode chez Paul Smith à Londres et au magazine Stiletto, qui était alors dirigé par Laurence Benaïm. J'ai appris à écrire avec elle. Ensuite j'ai fait un stage de fin d'études chez Condé Nast, et j'ai décroché un poste de journaliste mode pour Vogue et Glamour. Un an après, la rédactrice en chef du site de Vogue est partie et ils m'ont proposé de prendre sa place. Pendant 12 ans j'ai développé la marque Vogue sur toutes les plateformes digitales. 12 journalistes travaillaient dans mon équipe. Il a fallu ensemble retranscrire sur le digital toute la qualité éditoriale de Vogue, son exigence et son audace, tout en créant des communautés.

Après Vogue j’ai fait une pause pour m’occuper de mon fils, je fais de l’influence pour des marques et du consulting. Je suis dans une période de réflexion pour un futur projet, autour de la mode et l’artisanat. Il y a un peu de ça chez Fragonard d'ailleurs, parce que vous travaillez avec des artisans qui viennent du monde entier. Je suis passionnée par l'artisanat, c'est pour ça que j'adore des marques comme la vôtre, qui mettent vraiment les artisans en avant. J'adore les objets porte-bonheur par exemple, tous les petits totems et talismans qui viennent de différents pays.


 






 

Avez-vous des objets ou bijoux fétiches ?

J'ai plein de porte-bonheur. Ma médaille de la vierge miraculeuse par exemple, offerte par mon père. Il est très croyant et il voulait absolument que j'ai ça autour du cou pour la naissance de Gaston. Je pense aussi à tous mes bijoux en turquoise. J'ai ramené des choses de tous mes voyages. C'était l'énorme intérêt de mon boulot chez Vogue, nous avons beaucoup voyagé et j'ai découvert plein de cultures différentes, c'était très inspirant. Je pense que ça a vraiment forgé mon goût pour les jolies choses, pour une certaine esthétique.

Emmanuelle Alt, la rédactrice en chef, a eu une énorme influence sur moi, elle m'a aidée à devenir plus pointue, alors que nous avons des univers assez différents. Moi je suis passionnée par les années 70, les couleurs, tout ce qui est rétro, bohème ou hippie.

Pendant les périodes de Fashion Week, nous voyagions deux fois par an dans les quatre capitales de la mode. J'aimais y trouver des boutiques vintage et des antiquaires. À New York maintenant j'ai une liste d'adresses de dingue ! Dès qu'on avait un peu de temps entre deux défilés, notre passion ce n'était pas d'aller dans les boutiques de luxe, mais plutôt dans des friperies. On aimait y dénicher des trésors. Tout ça a développé en moi une obsession pour les jolies choses, le sens du détail, et un vrai perfectionnisme.


Quelle est votre pièce préférée chez Fragonard ?

J'adore les peignoirs de Fragonard, je les collectionne, et de manière générale tous vos imprimés. J'ai un petit faible aussi pour vos jupes et les grandes blouses un peu bouffantes. C'est trop joli.






 

Les indispensables à réunir pour vous sentir bien
dans votre intérieur ?

Je crois qu'il faut absolument des fleurs, des vraies, des fausses, des fleurs en dessin, et beaucoup beaucoup de couleurs. Du vintage aussi, il doit y avoir maximum deux meubles qui sont récents ici. Niveau matières, j'adore le rotin et le bois. J'ai de la chance car l'homme qui partage ma vie me laisse très libre. Il est bienveillant et je crois qu'il l'aime beaucoup l'univers cosy et coloré que j'ai voulu créer.


Qu'est ce que la maternité vous a apporté ?

Beaucoup de paix et énormément de joie. Cela m'a recentré sur les choses importantes de la vie. Je suis de nature très anxieuse et la maternité m'a rendue plus sereine. C'est un bonheur que je ne soupçonnais pas une seule seconde. D'un seul coup, notre vie est un peu plus complète. Je ne sais pas si il y a un truc plus merveilleux que d'aimer son petit bébé à ce point et de le voir grandir.


Le goût, les odeurs et le cadre de vos vacances les plus réussies ?

Je pense tout de suite à l'odeur du maquis corse, quand j'arrive en vacances chez mon amie Camille qui a une maison à Porto Vecchio. Cette odeur vous enivre dès votre arrivée à l'aéroport de Figari, c'est dingue. C'est une odeur d'immortelle, les fleurs d'immortelles qui sont très puissantes. Pour moi l'été c'est aussi l'odeur de la crème solaire et du monoï. Et l'odeur du barbecue ! En terme de goût, je pense aux fruits d'été. La tarte aux abricots un peu caramélisée qui sort du four… Un délice !







Je ne mets que de

la fleur d'oranger

depuis toujours.

(...)

J'y suis très fidèle.

Je crois qu'il y a un

truc d'enfance.


Côté parfum, que portez-vous ?

Je ne mets que de la fleur d'oranger depuis toujours. C'est mon odeur. J'y suis très fidèle. Je crois qu'il y a un truc d'enfance, un souvenir. Maman en mettait dans ses gâteaux, elle faisait des cakes à la fleur d'oranger. Cela m'évoque aussi le linge frais et l'odeur des bébés.


Votre programme pour le mois d'août ?

Nous allons passer tout le mois d'août à Noirmoutier, où la famille de mon compagnon à une maison. C'est une petite maison sur la plage qui se situe tout au bout de l'île. D'habitude, je voyage beaucoup, mais là j'avais vraiment envie de me reposer, de ne pas refaire les valises toutes les deux minutes. On va manger des fruits de mer, aller sur la plage, se baigner. En plus, il ne fait pas trop chaud là-bas l'été.

Texte et photos Andrane de Barry.

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